Les travaux de Cimolaï et Tolila sont construits autour de la notion de superposition. Dans l’oeuvre de Cimolaï, les formes se superposent : en dessinant des trames aléatoires, on aperçoit des formes qui ne nous sont pas inconnues, intemporelles, des formes rêvées, suggérées, enchâssées en grand nombre dans le maillage des lignes. Chez Tolila, la superposition se trouve essentiellement dans la matière, d’anciennes couvertures de livre, des échelles. Gardées brutes quand il le faut et retravaillées, peintes, assemblées, cousues et parsemées de symboles comme un titre gardé dans la reliure. Dans les deux cas, les couleurs se croisent, se chevauchent, s’associent et se nourrissent.
MARIE BATHELLIER
ISABELLE BERAUT
DELPHINE BRABANT
ANNE COMMET
SOPHIE DE GARAM
CATHERINE DIX
LUDOVIC FALEDAM
NAOKI KAWANO
HÉLENE LABADIE
SAMUEL LATOUR
VINCENT LEMAITRE
SYLVIE MANGAUD
SANAA MEJJADI
MAXIME MOUROUX
MARGAUX PECORARI
EMMANUELLE ROULE
MATTHIAS SCHERZINGER
LIAM STEVENS
GARANCE VALLEE